E-Procurement : les bonnes pratiques en chiffres

Infographie
31 juillet 2018
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 Schéma des bonnes pratiques de l'e-procurement. 

 

L’éditeur de solutions de E-Procurement Claritum réunit en une infographie très lisible ce qu’il faut savoir pour engager un projet intégré de digitalisation des achats. Un support probablement très utile aux Directions des Achats pour convaincre leur Direction Générale d’engager les ressources et les métiers de collaborer au projet de E-Procurement. Un travail de fond, précis et chiffré, qui mérite vraiment qu’on s’y intéresse. Le tour du monde de la digitalisation des achats en 80 secondes…

Le E-Procurement : pourquoi ?

Une plateforme digitale de Procure-to-Pay réunit trois grandes fonctions : l’accès à un catalogue digital, la commande et la facturation dématérialisées. Pour former une solution étendue au référencement de nouveaux produits, ou Source-to-Pay, on ajoute à nouveau trois fonctions : l’identification de nouveaux fournisseurs, leur évaluation et l’intégration au catalogue des produits ciblés.

Selon Claritum, adopter une plateforme d’E-Procurement permettrait d’économiser  en moyenne 25 % sur le global achats en suivant les 3 étapes décrites dans l’infographie :

  • Phase 1 : visibilité et contrôle (gestion des fournisseurs, normalisation…)
  • Phase 2 : économies et efficacité (regroupement des volumes, automatisation de la chaîne d’approvisionnement…)
  • Phase 3 : valeur et risque (intelligence collaborative, détachement des experts pour ajouter de la valeur…)

Le E-Procurement : combien ?

Si on entre dans le détail des économies induites par la mise en place d’une plateforme de E-Procurement, l’infographie de Claritum distingue le potentiel d’économie sur le panier moyen et le potentiel d’économies obtenues grâce à l’amélioration de la productivité du traitement des achats.

1. Réduction des coûts

Claritum identifie neuf facteurs qui contribuent chacun à générer une réduction des coûts, pour une baisse globale qui peut dépasser 30 % par rapport aux coûts avant l’intégration de la solution. C’est à l’amélioration de l’adéquation des demandes d’achat avec les besoins réels, à l’agrégation des commandes et à l’obtention de meilleures conditions d’achat, dans cet ordre, que Claritum attribue la contribution la plus élevée à la réduction des coûts directs.

2. Gains de productivité

Concentrés sur moins de critères, les gains de productivité représentent un potentiel d’économies entre 3 et 15 % selon les critères. Passer moins de temps à spécifier des demandes d’achat grâce à la standardisation des produits, passer moins de temps à gérer des appels d’offres grâce à la conclusion d’accords avec des fournisseurs globaux et passer moins de temps à traiter des commandes grâce à l’automatisation représentent ensemble sur une année d’achats entre 10 et 45 % de réduction des coûts de traitement. Et si on y ajoute les gains de productivité générés par la réduction du nombre de fournisseurs et par l’automatisation du reporting, une organisation peut espérer atteindre entre 20 et 65 % de réduction des coûts de traitement de ses achats grâce au E-Procurement !

Les Directions des Achats sont pour la plupart engagées dans des chantiers de digitalisation de leurs processus achats. Le propos est ici d’envisager la digitalisation sous un angle 100 % intégré, à travers une plateforme globale. pour profiter des 375 % potentiels de retour sur investissement.